1 janvier 2015
Maxime Maillard, Monsieur Vitesses, lu par Daniel
Genève, Autre part, 2014, 83 pages.
C'est court et, comme le titre l'indique, ça va vite: l'auteur, certes jeune, relate dans ce premier roman une jeunesse d'aujourd'hui, qui considère l'Europe comme un terrain de jeu mais n'oublie pas ses racines. On trouvera donc ici des noms de lieux typiquement fribourgeois, ainsi que des helvétismes parfaitement assumés.
Lu pour "La Liberté".
Daniel, 32363 pages.
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