18 avril 2014
Emilie Notéris, Séquoïadrome, lu par Daniel
Nantes, Joca Seria, 2011, 138 pages hors bibliographie.
Un avion s'écrase sur le sommet de l'un des plus hauts séquoïas du monde. Ses deux occupants, une femme et un homme, s'inventent une vie à la manière de Robinsons. L'intrigue est un peu secondaire. Elle sert de prétexte pour véhiculer quelques idées déliées par la consommation de champignons hallucinogènes, parfois mises en exergue dans des chapitres à part. Livre expérimental ou véritable roman? Au lecteur de trancher...
J'en parle plus amplement ici.
Daniel, 4489 pages.
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