19 avril 2014
Thomas Sandoz, Les temps ébréchés, lu par Daniel
Paris, Grasset, 2013, 159 pages.
Atteinte d'une maladie dégénérative qui la condamne à court terme, une femme décide de passer les dernières semaines de sa vie à collectionner les sons. L'auteur suisse réussit là un très beau roman, sensible, où les sons sont omniprésents bien sûr: musique, rumeurs de la ville, etc. Le tout est servi par une écriture sobre, à la ponctuation minimale, qui va à l'essentiel.
J'en parle plus longuement ici.
Daniel, 7018 pages.
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