10 juin 2014
Mazarine Pingeot, Les invasions quotidiennes, lu par Daniel
Paris, Julliard, 2014, 238 pages.
Joséphine vit seule, ou presque - une solitude hantée par son ex-mari un brin intrusif et par ses deux garçons, mais aussi, de manière plus abstraite, par des philosophes tels que Kant. A cela s'ajoute un certain nombre de maladresses (voir le lave-vaisselle, présenté comme un running gag original) qui donnent à penser que Joséphine est une sorte de Bridget Jones un peu triste. Pas évident d'adhérer au personnage, qui est quand même une espèce de trentenaire compliquée et bien de notre époque! Mais le récit s'avère doux-amer, et tranche avec ce que l'auteure a pu écrire par le passé.
Lu pour "La Liberté".
Daniel, 13101 pages.
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