21 juin 2014
Laurence Biava, Amours mortes, lu par Daniel
Nice, Ovadia, 2014, 224 pages.
Des écrivains, des groupies, une avocate et quelques événements tragiques. Structuré en deux parties qui adoptent la forme du collage, ce deuxième roman de l'auteure s'avère placé sous le signe de l'intensité, jusqu'au bout, "à en mourir". L'écriture s'avère dense, volontiers compacte, et porte chacun de ses personnages à son paroxysme.
J'en parle plus amplement ici.
Daniel, 14379 pages.
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