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Confrérie des 10001 pages
20 septembre 2014

Nicolas d'Estienne d'Orves, La dévoration, lu par Daniel

Paris, Albin Michel, 2014, 311 pages.

Un écrivain un peu trop sûr de lui est obligé de creuser un peu plus profondément en lui-même dans sa pratique. Cela va l'amener à découvrir des choses qu'il n'aimerait pas savoir... Il est question de bourreaux dans ce roman, et aussi d'un Japonais cannibale (euh, comme votre serviteur!). L'impression que laisse ce roman est similaire à la dégustation d'une belle et bonne viande rouge: miam!

J'en parle plus amplement ici.

Daniel, 17490 pages.

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