25 décembre 2014
Serge Joncour, U. V., lu par Daniel
Paris, Le Dilettante/Folio, 2007, 179 pages.
Surexposé, lumineux comme lorsqu'il y a trop de soleil: "U. V." est un roman qui réchauffe l'hiver... Son auteur y relate l'arrivée d'un rastaquouère aux vêtements blancs dans la famille d'un ami qui joue longtemps l'Arlésienne. Il s'installe, se fait apprécier. Par touches discrètes, volontiers allusives, l'auteur montre les complicités et aussi les grains de sable qui peuvent se glisser dans les relations interpersonnelles. Il y a là quelque chose de Claude Chabrol, dit la quatrième de couverture. Et beaucoup de lyrisme dès qu'il s'agit de peindre la mer, les rochers, la nature.
J'en parle plus amplement ici.
Daniel, 23345 pages
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